Jean
et ses frères retrouvent leurs parents, après une séparation liée
au métier de leur père, professeur en Indochine. Mais la joie des
retrouvailles est rapidement ternie : ils doivent faire face à une
mère autoritaire et violente, dans un cadre familial strict et
austère. Si la faim et le froid deviennent le quotidien des enfants,
l’absence de toute tendresse et la violence physique sont plus
pénibles encore. Leur marâtre Folcoche, ainsi que la surnomment les
frères, les couvre de coups de fouets et d’humiliations. Rien ne
semble pouvoir arrêter cet enfer, pas même le père, trop effacé,
trop lâche peut-être. Jean ne pourra compter que sur sa ruse pour
échapper à sa mère et quitter cette enfance, bien plus douloureuse
qu’une morsure de vipère. Le personnage que j'ai aimé , c'est le
personnage principal qui se nomme Jean Rezeau. Je l'ai aimé car
c'est le seul qui a eu l'idée de révolter envers sa mère et je
trouve ça très courageux de sa part . Le personnage que j'ai le
moins aimé, c'est le père de la famille Rezeau , il n'a pas été à
la hauteur d'un vrai père. Il se faisait lui aussi maltraité par la
mère Rezeau , elle le dominait . C'est pour ça je n'ai pas apprécié
ce personnage qui devait
être plus autoritaire envers sa famille . La
femme qui était en première de couverture me donnait envie
d'apprendre plus de choses sur elle et sur ce qu'elle me cacher
derrière son visage . Je n'ai pas aimé ce livre , je le trouver
ennuyant rien ne m'a marqué dans cette histoire et ce n'est pas mon
type de livres . Le passage qui m'a marqué c'est les retrouvailles
de la famille Rezeau . Ce qui m'a choqué le plus c'est que la mère
Rezeau ne porte aucune affection envers ses fils , je trouve ça
injuste pour une mère de famille , surtout que ça faisait longtemps
qu'elle n'avait pas vu ses enfants .
Devenons critiques littéraires...
vendredi 13 février 2015
Moi , Delphine 13 ans ...
C'est
l'histoire de Delphine 13 ans ,qui vient d'être placée avec sa sœur
Élodie 10ans et leur petit frère Steve dans un village d'enfants
par décision de justice. Là , une «mère» , Camille les prend en
charge avec professionnalisme. Lorsqu'elle récupère ses jours de
congés , c'est Paulette, l'aide à domicile, qui prend le relais
avec les moyens du bord. L'idée est de rassembler la fratrie après
que la vraie mère de Delphine , alcoolique , a été reconnue inapte
à s'occuper de ses enfants. Sauf que la fratrie n'est pas encore au
complet ; Franck , 14 ans et Myriam , qui vient de naître , doivent
encore rejoindre le village. Delphine , à son arrivée , s’échappe
en écrivant à Audrey , une vague connaissance du collège qu'elle a
fréquentée l'année précédente à Vitry , Audrey l'a toujours
ouvertement ignorée par le passé mais qu'importe Delphine a besoin
d'écrire à quelqu'un.
Ce
que j'ai préféré dans cette histoire , c'est le passage des
retrouvailles entre Delphine et son grand frère Franck. Ce
que j'ai apprécié , c'est qu'ils
se sont retrouvés alors qu'ils étaient séparés depuis
qu'ils sont petits et que sa sœur et son petit frère ont quitté
leur mère et père
.
Un jour , Franck revient et verse une larme ce qui a touché Delphine
et moi-même. Ce passage m'a beaucoup touché car voir Franck pleurer
, je ne m'y attendais pas.
Le
personnage que j'ai le plus aimé c'est le personnage principal qui
se nomme Delphine , elle a eu le courage de nous raconter son
histoire. Les personnages que j'ai le moins aimé ce sont les parents
de Delphine car ils n'ont pas eu le courage de bien s'occuper de
leurs propres enfants. Leur alcoolisme causait de graves
perturbations.
Ce
roman m'a beaucoup attiré avec sa première de couverture
représentant
cette jeune fille à l'air si triste. J'ai beaucoup aimé ce roman
car j'aurai pu être à sa place.
Celia
la
civilisation ma mére
L'histoire raconte la vie
d'une mère de famille marocaine dans les années 1930 qui ne connaît
rien à la civilisation. Les
deux garçons sont a l'école. Le père travaille. Ses deux fils
l'adorent beaucoup et poussent leur mère hors de la maison,
permettant à son esprit de s'épanouir.
J'ai
choisi le passage de la radio, quand les frères se sont regardés et
on dit « c'est une boite qui parle ». J'ai choisi ce
passage car j'ai aimé la réaction des deux frères envers la mère.
J'ai
aimé les fils car ils apprennent à leur mère la nouvelle vie (
c’est-à-dire la civilisation).
ça
m'as
touché car ils tiennent beaucoup à leur mère.
Je
n'ai pas aimé le père car il ne partage aucun moment avec sa
famille, ni ses enfants.
J'ai
choisi ce livre car je suis marocaine et je voulais découvrir la vie
au Maroc dans les années 1930 car je n'étais pas née et
l'illustration m'a donné envie.
Ce
livre m'a beaucoup plus
sauf que je n'aime pas le narrateur du début de l'histoire car je
trouve que l'histoire était ennuyeuse. J'ai commencé à aimer
l'histoire ou Nagib raconte l'histoire car il y avait beaucoup de
dialogues et ça donnait envie de lire le livre jusqu'à la fin .
«la
civilisation, ma mère...»Driss
Chraibi
Ce
sont deux fils qui racontent leur vie, et
en particulier
celle
de leur mère. Le père travaille, les deux garçons sont à l'école,
dont un, qui fait de la contre-école. Ils racontent l'arrivée de la
civilisation et des nouvelles technologies chez eux et comment leur
mère va s'intéresser
à la politique.
Comme
passage marquant,
j'ai choisi le passage de la radio, quand les garçons amènent la
«boîte». La mère ne comprend pas ce que c'est, les garçons lui
disent que c'est une boîte magique et qu'il y a un magicien alors
elle l'appelle «monsieur Kteu». J'ai choisi ce passage car j'ai
beaucoup aimé la réaction de la mère, elle réagit comme un
enfant.
Les
personnages que j'ai aimés sont les fils et la mère;
les fils sont très attentionnés envers leur mère et l'aiment
beaucoup. La
mère,
elle, est douce et insouciante, elle découvre les nouvelles choses
avec plein d'émerveillement, comme une enfant.
J'ai
choisi ce roman car l'illustration est intrigante et donne envie de
lire. Le résumé donne une bonne impression de l'histoire :
l'histoire de deux garçons qui apprennent la civilisation à leur
mère. J'ai aimé l'histoire par contre il y avait des passages trop
descriptifs donc trop longs.
Danbé d'Aya Cissoko
« Devenons critiques littéraires… »
« Danbé d’Aya Cissoko »
Une petite fille immigrée grandie heureuse à Ménilmontant frappée par une série de deuils familiaux, devient championne de boxe, puis étudiante à sciences po ,le parcours hors du commun d’Aya raconte avec force et justesse par Marie Desplechin.
Il y a bien quelques passages qui m’ont marqué : « Le passé me revient en même temps qu’il m’échappe (p181) ». Ce passage parle du temps qui passe vite, mais parfois le passé, les souvenirs nous rattrapent. « Quand on est le personnage d’une tragédie, on ne s’épuise pas à chercher des coupables. On s’efforce tout juste d’aller jusqu’à demain. »J’ai choisi cette citation propre à l’auteur car elle exprime parfaitement le ressentis d’Aya face aux tragédies qui lui tombent dessus et son point de vue vis-à-vis de la situation.
Le personnage que j’ai aimé est Aya Cissoko, cette jeune française d’origine malienne, avec une force est un courage extraordinaire, championne de boxe française et anglaise. C’est une jeune femme en recherche d’elle-même .Elle grandit, elle vit, elle pleure, elle se bat et elle continue d’avancer malgré la mort de son père dans l’incendie, c’est ce que j’ai vraiment apprécié dans ce personnage. Mais le personnage que j’ai moins apprécié est la mère d’Aya car elle ne montrait pas assez son ressenti, ses sentiments, son amour envers Aya. Mais malgré cela ça reste une femme forte comme sa fille.
Puis j’ai aussi appris grâce à ce livre une très bonne leçon de vie. Cette lecture est magique car contrairement aux autres, on se projette dans sa vie, on comprend son vécu, on tourne les pages sans réellement les voir défiler car j’étais passionnée par son histoire.
Donc si j’ai choisi ce roman c’est parce que la première de couverture donnait envie de se plonger dans l’histoire puis aussi car j’en avais déjà entendu parler dans ma famille, ma mère plus précisément qui était absolument ravi que je le lise à mon tour.
Ce que j’aime bien dans ce livre c’est que rien que en lisant la quatrième de couverture on imagine rentrer dans son vécu.
Madison Beugnet 3e
« Danbé d’Aya Cissoko »
Une petite fille immigrée grandie heureuse à Ménilmontant frappée par une série de deuils familiaux, devient championne de boxe, puis étudiante à sciences po ,le parcours hors du commun d’Aya raconte avec force et justesse par Marie Desplechin.
Il y a bien quelques passages qui m’ont marqué : « Le passé me revient en même temps qu’il m’échappe (p181) ». Ce passage parle du temps qui passe vite, mais parfois le passé, les souvenirs nous rattrapent. « Quand on est le personnage d’une tragédie, on ne s’épuise pas à chercher des coupables. On s’efforce tout juste d’aller jusqu’à demain. »J’ai choisi cette citation propre à l’auteur car elle exprime parfaitement le ressenti
Le personnage que j’ai aimé est Aya Cissoko, cette jeune française d’origine malienne, avec une force est un courage extraordinaire, championne de boxe française et anglaise. C’est une jeune femme en recherche d’elle-même .Elle grandit, elle vit, elle pleure, elle se bat et elle continue d’avancer malgré la mort de son père dans l’incendie, c’est ce que j’ai vraiment apprécié dans ce personnage. Mais le personnage que j’ai moins apprécié est la mère d’Aya car elle ne montrait pas assez son ressenti, ses sentiments, son amour envers Aya. Mais malgré cela ça reste une femme forte comme sa fille.
Puis j’ai aussi appris grâce à ce livre une très bonne leçon de vie. Cette lecture est magique car contrairement aux autres, on se projette dans sa vie, on comprend son vécu, on tourne les pages sans réellement les voir défiler car j’étais passionnée par son histoire.
Donc si j’ai choisi ce roman c’est parce que la première de couverture donnait envie de se plonger dans l’histoire puis aussi car j’en avais déjà entendu parler dans ma famille, ma mère plus précisément qui était absolument ravi que je le lise à mon tour.
Ce que j’aime bien dans ce livre c’est que rien que en lisant la quatrième de couverture on imagine rentrer dans son vécu.
Madison Beugnet 3e
L'attrape-cœurs
J'ai lu un livre que j’ai plutôt aimé. Il s’agit de «L'attrape cœurs» de J.D. Salinger. Donc voilà c'est l'histoire d'Holden il a 17 ans et s'est dit que ce serait bien de vous raconter un truc qui lui est arrivé. C’était vers la période de noël. Il a commencé un peu à errer après son renvoi de Pencey. Il lui est arrivé tellement de trucs. Mais je vais pas tout vous dire. Ça gâche le plaisir. Donc ouvrez le livre et voyez vous-même. En avant-goût, je vous cite quand même des passages qui m'ont marqué :
« Les filles c’est comme ça, même si elles sont plutôt moches, même si elles sont plutôt connes, chaque fois qu’elles font un truc chouette on tombe à moitié amoureux d’elles et alors on sait plus où on en est »
« Encore une chose que les études universitaires t’apportent. Si tu les poursuis assez longtemps, ça commencera à te donner une idée de la forme de ton esprit. Ce qui lui convient et – peut être – ce qui ne lui convient pas. Au bout d’un moment tu auras une idée du genre de pensées le plus accordé à ta forme d’esprit. Ça t’évitera de perdre un temps fou à essayer des façons de penser qui ne te vont pas, qui ne sont pas pour toi. Tu commenceras à bien connaître tes vraies mesures et à diriger ton esprit en conséquence »
Le premier passage m’a marqué car Holden le dit d’une telle simplicité alors que c’est vraiment beau, on voit qu’il se cherche.
Le deuxième passage m’a marqué
car c’est une véritable leçon de vie puisque c'est carrément de la philosophie et Holden écoute Mr Antolini avec attention comme pour boire chacune de ses paroles qui l'aideront à construire sa vie future.
Il y a aussi deux personnages que j’ai vraiment aimé : Le père Spencer et Mr Antolini car ils sont tous les deux très intelligents, chacun à sa manière.
Le père Spencer de part son expérience et ses avertissements quant à l’avenir d’Holden, on voit qu’il se fait du souci.
Mr Antolini se distingue par le fait qu’il soit instruit et par sa philosophie de la vie. Il est vraiment réaliste par rapport à comment risque de finir Holden et il lui dit. Il lui donne de très bonnes leçons de vie et l’éclaire un peu dans sa recherche de lui-même.
Par contre il y a un personnage que je n’ai pas aimé : Stradlater
Ce personnage narcissique et prétentieux ne semble pas avoir compris grand-chose à la vie. Du moins c’est l’image qu’il renvoie.
Il « s’amuse » et prend limite les filles pour des objets faisant toujours mine d’être soigné pour séduire la gente féminine. Son cerveau est programmé comme celui d’un coq. Il ne pense qu’à lui-même en réalité mais reste social pour garder le respect des autres. Quand Holden lui demande de passer le bonjour à Jane il lui dit qu’il le fera mais il s’en fiche complètement. Il dit ça par politesse pour ne pas être en conflit avec Holden. Alors qu’avec les filles il s’affichera souriant et gentil pour mieux les avoir. Une fois qu’il aura eu Jane, il s’intéressera à une autre proie et Jane deviendra une de ses conquêtes désormais inintéressantes avec qui il gardera tout de même la politesse pour qu’il reste apprécié – du moins en apparence – de tous.
Pour conclure j’ai choisi ce roman pour l’histoire déjà, être dans la tête d’un garçon de 16 ans qui ne se complique pas la vie niveau vocabulaire et qui se cherche ça peut être intéressant. On a toutes les pensées d’Holden sans passer par un filtre de politesse pour éviter de choquer les gens. Tout est dit et ça donne des vraies pensées, réalistes.
Ensuite le titre « L’attrape – Cœurs ». Qu’est ce que ça pouvait bien dire ? Je n’aurais jamais imaginé ça comme un métier. Ça m’a intrigué donc ça m’a poussé à le prendre.
Et puis j’ai aimé cette lecture, je ne regrette absolument pas de l’avoir choisie. Mais quelqu’un qui lit ce livre et qui n’arrive pas à penser de manière philosophique ou qui n’est pas un minimum capable de réflexion ne comprendra pas. Parce que ce n’est pas une histoire en elle-même. De même que quelqu’un qui est impatient, c’est au fur et à mesure des pages que l’on comprend « l’histoire ». Holden passe du coq à l’âne et on ne voit même pas où il veut en venir.
On peut finir ce livre en n’ayant toujours pas compris et en se demandant :
« Mais en fait c’est quoi l’histoire ? »
Il n’y en a pas vraiment, d’histoire. Ce sont des leçons de vie regroupées dans les pensées d’un garçon de 16 ans qui mûrit au fil des pages.
Et c’est ça qui rend le livre original, mais intéressant.
Soraya Touimi B. 3 E
lundi 9 février 2015
Daniel Picouly Le champ de personne
Le
champ de personne
3eme
collège pascal
2015-2016
Critique
littéraire:Le champ de personne
I)Le résumé du livre
Cette histoire est racontée par Daniel
Picouly qui narre l'histoire de son enfance en s'imaginant en
Mohican. Ce livre raconte l'histoire d'un gosse qui vit avec une mère
omniprésente , un
père chaudronnier et une douzaine de frères et de sœurs. Mais la
vie du gosse va prendre une tournure intéressante quand il perdra le
vélo de sa mère dans le champ de personne...
II)Phrases marquantes
Un
passage m’a marqué à la page 27 de mon édition :« Soudain mes yeux s'ouvrent
seuls. Fini le bathyscape. Fini le jeu. «La» très grosse bêtise
vient de perdre sa perruque. Elle est là. Je la vois ! Je la touche
dans l'ordre, et en trois mots : Hippocampe, tandem et... vélo!
-M'am, on m'a volé ton vélo! »
Ce qui m'a marqué dans cette phrase est que je vois que c'est là
qu'il sent que la grosse bêtise va venir : il a perdu le vélo de sa mère ainsi, ça donne
suite au commencement de l'histoire, là
où ça devient intéressant.
III)le personnage que j'ai
aimé et pas aimé
Le personnage que j'ai aimé c'est le personnage principal car dans
le livre il fait plein de gaffes.
Par exemple, j’ai
aimé le moment où il a laissé le vélo de sa mère au
champ de personne ou quand
il a voulu attraper la polio pour devenir le meilleur dribbleur du
monde.
Le personnage que je n'ai pas aimé c'est Maryse et Marisa qui parfois font un peu
de chantage au personnage principal.
IV)Conclusion
J'ai choisi ce livre car la première de couverture me faisait penser
à un monde merveilleux avec une salle remplie de jouets et qu'il
allait se passer quelque chose. Le champ de personne faisait penser à
un paysage de campagne ou un parc.
Mais je n'ai pas aimé ce livre car quand je l'ai lu j'avais du mal à
me situer dans la scène et les personnages. Mais aussi que j'étais
perdue alors j’ai commencé à m'ennuyer
quand je le lisais.Il
y a certains mots que je ne comprenais pas.
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